Voici venu le temps où je parle de ma grossesse…
On va
commencer par le premier trimestre, puis le deuxième, puis le troisième.
J’avais prévu trois articles, finalement, je n’en proposerai qu’un seul. Non
pas que j’ai la flemme ou peu de choses à dire, mais je crois que cela suffira
amplement à vous détailler tout ça !
Quand on tombe enceinte, on sait qu’on va entrer dans une
phase de galères. Faut pas se leurrer, les débuts sont compliqués pour la
plupart d’entre nous et même si c’est avec des degrés différents, on ne doit
pas mettre ses maux de côté…
TRIMESTRE 1 – DUR DUR DUR !
Aujourd'hui, je sens que je peux en parler... J’ai fait une fausse couche en décembre 2015… Après avoir
appris en novembre 2015, ma jolie grossesse. Cette fausse couche s’est passée
tardivement, j’ai dû subir une opération sous anesthésie générale et même si
tout s’est bien passé niveau physiologique, dans ma tête, c’était le
bordel !
Je n’ai pas voulu réessayer tant que je ne me sentais pas
prête. Mais je n’ai pas repris de moyen de contraception pour autant, préférant
laisser la nature faire, quand elle le voudrait !
Fin novembre 2016, je doute… Je n’ai pas eu mes règles qui sont
pourtant très bien calées. Test de grossesse et BINGO ! Je suis enceinte
mais… J’ai peur du schéma qui se répète ! On est fin novembre et tout, et
tout… J’ai filé chez mon médecin généraliste, qui m’avait suivi cette année
compliquée.
Il m’a directement proposé une écho de datation, quelques
semaines après.
A l’hôpital, ça leur semblait trop tôt, mais j’avais une ordonnance de mon docteur alors j’ai eu un rendez-vous, mi-décembre. Et là, j’ai été un peu rassuré ! Normalement, on ne voit pas grand-chose, mais ce jour-là, le cœur battait déjà très visiblement et même si ça ressemblait plus à un grain de couscous, ça m’allait parfaitement !
J’ai fait tout de même deux ou trois passages aux urgences
gynéco, pour des pertes de sang, des douleurs abdominales… A chaque fois, rien
de grave, tout était normal ! Mais c’est un point sur lequel je n’ai pas
hésité. Quitte à passer pour la relou de service, dès que j’avais un doute,
j’appelais les urgences gynéco pour un avis !
Bien sûr, on ajoute à cela les nausées (jamais de vomito,
par contre !) à cause de mon dentifrice le matin, à cause des légumes que
je n’ai pas touché pendant quasiment 4 mois… J’avais besoin de gras et de
sucre, autant dire que je n’ai jamais autant mangé McDo et de pâtisseries de la
boulangerie du coin. J’ai eu beaucoup de fatigue aussi, mais ça je crois que
personne n’y échappe.
Ce qui a été le plus difficile, c’est de garder le secret.
Seuls ma sœur et mon beau-frère ont été mis au courant de bonne heure. Mais
pour le reste, c’était chut chut chut ! Sauf qu’au boulot, c’était plus
que compliqué. J’avais une semaine d’événements à coordonner, des grosses
impressions à gérer (et donc des cartons immenses à porter et à récupérer…), un
petit stress des familles à gérer… Autant dire que j’ai rapidement prétexté un
problème de dos, vu avec mon médecin (FAUX !) que de ce fait, je ne
pouvais plus me baisser, plus porter rien du tout. C’est passé et j’ai pu gérer
ça pendant les 3 premiers mois sans problème !
J’ai arrêté de prendre les transports en commun dès le début
aussi ! Sans être parano, juste avant ma fausse couche l’année précédente,
un bus dans lequel j’étais, s’était pris de façon très violente et de façon
consécutive, plusieurs trottoirs, parfois assez hauts. J’avais eu très peur et
très mal au ventre quelques heures après. Sans mettre tout ça sur le dos du
chauffeur peu adroit, j’ai préféré ne plus monter dans le bus. Et le tram et
ses odeurs corporelles, ce n’était pas possible non plus !
Bilan : Un premier trimestre très compliqué à gérer
mentalement parlant. Beaucoup de peur, beaucoup de pleurs, beaucoup de passage
à l’hôpital… Mais au final, tout allait bien !
TRIMESTRE 2 – RIEN A SIGNALER !
Contrairement au T1, j’ai été beaucoup plus détendue au T2.
Grâce à mon échographie des trois mois, je l’avoue. J’avais tellement peur
quand nous y sommes allés, que le moment où j’ai entendu le petit galop de
cheval, qui signifie que le cœur de la crevette bat bien, mes inquiétudes se
sont envolées.
J’avais pris rendez-vous avec ma sage-femme dès le deuxième
mois, du coup, j’ai été suivi seulement par elle tous les mois pour le suivi de
grossesse (poids, forme, taille du ventre…). Cela m’a aussi permis de me
détendre, je n’ai pas ressenti la moindre pression dans les mots de cette jeune
femme.
Elle m’a conseillé et m’a surtout prévenu sans m’alarmer. Seul bémol,
par rapport à mon poids… Je n’ai pas pris de poids jusqu’au 5e mois
où j’ai pris 5kg d’un coup. Elle avait été un peu rude, selon moi, j’ai fait
trop attention après ça, au point où je prenais encore du poids alors que
j’avais calmé ma frénésie de nourriture. J’ai donc fermé mes oreilles, mangé
comme JE voulais et bizarrement, je n’ai plus pris un seul kilos jusqu’à mon
dernier mois de grosses (où j’ai pris 1 kg !)…
Pour celles qui ne le sauraient pas, les sages-femmes sont
compétentes aussi en gynécologie. Et oui, je n’ai pas de gynéco, c’est ma
sage-femme qui suit aussi ma contraception, mes examens du type frotti et
autres… N’hésitez pas un seul instant à consulter ces femmes qui sont bien
souvent plus pédagogues et plus à l’écoute !
Dès la première échographie, j’ai tout dit à tout le monde.
Marre de cacher une aussi jolie nouvelle, bébé allait très bien. Et contrairement à ma première grossesse où je me suis mise une pression d’enfer pour cacher tout ça, je n’avais plus envie.
Marre de cacher une aussi jolie nouvelle, bébé allait très bien. Et contrairement à ma première grossesse où je me suis mise une pression d’enfer pour cacher tout ça, je n’avais plus envie.
Au boulot, j’ai aussi annoncé de vive-voix la nouvelle à mes
proches collègues avec qui je bosse au quotidien et à mon directeur. Je n’avais
pas envie de « cacher » quoi que ce soit et je voulais prévenir bien
en avance pour la suite et anticiper comme il faut mon congé maternité. J’ai pu
adapter mes horaires de travail pour terminer plus tôt, et donc mieux gérer mes
phases de fatigue.
J’ai ressenti les mouvements de bébé assez tôt finalement.
Un jour, j’ai demandé à ma sage-femme ce qu’étaient les chatouilles dans mon
ventre, pensant à des soucis intestinaux… Elle m’a répondu que vu la
description des chatouilles, c’était bébé ! En rentrant, j’ai halluciné
encore un peu de pouvoir sentir ça, si tôt dans ma grossesse. La panique a filé
aussitôt !
Je passe sur les conseils qu’on m’a donné… Sur le test de
glucose… J’en ai déjà parlé sur le blog !
On avait aussi trouvé le prénom Victor, depuis quasiment le
début (le prénom Juliette aussi, au cas où…). Du coup, dès la deuxième
échographie, on a pu l’appeler par son prénom. A vrai dire, on se doutait que
ce serait un petit mec. A l’hôpital, on nous l’avait déjà dit à l’écho T1 (avec
des pincettes !). C’est une chose qu’on a fait dès le départ :
considérer bébé même au 1e, 2e, 3e mois. En
l’appelant « Bébé », certes, mais faire comme s’il était bien là m’a
permis aussi de mieux gérer mon stress. Et puis, anecdote drôle : quand
j’ai accouché, la pédiatre qui s’est chargée de faire les petits tests juste
après, nous a demandé si on lui avait parlé pendant ma grossesse et surtout si
on le nommait déjà avec son prénom. Elle n’a pas été surprise quand on lui a
répondu que oui. Il était déjà très réactif au son de « Victor »
selon ses dires, notamment avec son Papa qu’il a tout de suite accroché du
regard !
BILAN : Un trimestre T2 totalement reposant (même si le
corps est fatigué !). J’ai ressenti le stress bien moins pesant, j’ai
arrêté de me mettre la pression au boulot (je l’avoue), j’ai pris du recule sur
tout ce que je faisais. Je ne voulais plus subir la fatigue en faisant passer
des choses moins importantes, en priorité. En gros, Victor est devenu LA chose
dont il fallait prendre soin. Avec Le Mari, on s’est organisé comme des chefs,
on s’est mis d’accord sur plein de choses… Au final, tout s’est passé sans
encombre !
TRIMESTRE 3 – TOUJOURS RIEN A SIGNALER !
Après ma deuxième écho, j’ai donc totalement relâché le
stress…
C’était aussi le début des cours de préparation à l’accouchement, toujours avec ma sage-femme libérale. Nous avons eu énormément de chance, Le Mari a pu m’accompagner à TOUS les rendez-vous. C’était important pour lui de m’y accompagner, pour tout comprendre, pour tout bien suivre… Ce qui m’a beaucoup aidé, je l’avoue !
J’y allais avec mon petit carnet, pour noter les choses
importantes. Nous étions parfois seuls, parfois avec une jeune femme qui a
suivi deux ou trois cours avec nous. J’ai beaucoup aimé ces cours qui m’ont été
vraiment très utiles ! Je vous donnerais prochainement des petits conseils
qui sortent de ces entretiens, qui ont j’en suis certaine aujourd’hui, eu un
impact ultra positif sur mon accouchement !
On a fait de la sophrologie, on a parlé librement des
choses. Le mari a été intégré totalement dans les cours, même s’il aurait pu
être mis de côté pour certains points, ce n’était pas du tout le cas. Il a
participé autant que nous, futures mamans, c’était très appréciable pour lui et
pour moi ! Et puis, avoir la vision d’un Papa pendant ces cours, c’est
vraiment chouette, je trouve !
Je n’ai pas eu de congé maternité anticipé, vu que ma
grossesse s’est parfaitement déroulée. Mais autant dire que la semaine de
congés que j’ai pris avant n’était pas de trop ! Du coup, dès le 1e
juillet, j’ai pu arrêter de bosser. Meilleure chose qui puisse m’arriver !
Repos total, zéro stress… Bref, j’ai ressenti que j’allais pleinement profiter
des dernières semaines !
Dès le 8e mois, les choses changent un peu…
Après la dernière échographie, qui montrait un bébé dans la
norme et totalement en forme, autant dire que je n’avais plus du tout peur de
quoi que ce soit. Et puis, le cliché 3d qu’on nous a fait était tellement beau
et réaliste, que je savais que mon Victor se portait bien et que tout irait
parfaitement !
Pour mon suivi, les choses ont un peu changé. J’ai été suivi
par une nouvelle sage-femme, à l’hôpital, pour faire le lien avec la maternité.
J’y suis allée sans aucun appréhension. Et j’ai bien fait ! J’ai été prise
en charge par une sage-femme absolument adorable, qui m’a mis en confiance de
suite. Elle a été hyper rassurante sur mon état de santé, sur mon accouchement
vu comment s’était passée ma grossesse. Bref, je n’avais pas de crainte
particulière !
Le seul hic, ce fut le rendez-vous avec l’anesthésiste (je souhaitais une péridurale !) qui
m’a totalement déstabilisé. Très médicalisé, très froid… Contrairement aux
rendez-vous de suivi qui avaient tous été très pédagogues et sympas, là, j’ai
eu la sensation que l’accouchement serait une catastrophe et que tout allait
mal se passer. En plus, comme un fait exprès, c’est le seul rendez-vous où j’ai
dit au mari qu’il n’avait pas à m’accompagner… Si j’avais su…
Du coup, les angoisses pour l’accouchement et d’autres
petites questions sont remontées. Les hormones aidant, bien entendu ! J’ai
pris peur de l’allaitement, j’ai pris peur de ma nouvelle vie de Maman, j’ai
pris peur de Victor… Mais en quelques jours, tout avait disparu ! J’ai
préféré profiter des dernières semaines où il était encore dans mon ventre, où
je pouvais m’amuser à sentir ses coups, plutôt que de m’en faire (et de lui
faire du mal à cause de mon stress !).
La dernière ligne droite a été longue. J’ai ressenti les
premières contractions à 35sa, j’ai appris au second rendez-vous avec la
sage-femme à l’hôpital, que mon col était déjà ouvert et que les contractions,
même faibles, faisaient bien avancer le boulot. En gros, bébé pouvait arriver
n’importe quand ! Je me suis imposée du repos et limitée les sorties…
L’impatience s’est faite ressentir dès 38sa ! J’en pouvais plus…
Victor n’avait plus beaucoup de place, faisait même mal dans ses mouvements. J’avais un peu peur des contractions, bizarrement, je ne voulais plus vraiment accoucher plus tôt que prévu ! Pour moi, il me restait des peurs que je n’avais pas réglé et qui ne devaient plus être là au moment où bébé serait avec nous ! J’ai fait quelques petits malaises, je n’arrivais plus à dormir convenablement, impossible de faire des siestes… J’ai eu la chance que mon mari puisse prendre TOUS ses congés d’un coup, ce qui fait qu’il était là 24/24 – 7/7 dès début août. Une grosse peur qui s’est éteinte aussi, sachant qu’il bosse à Orléans et que je redoutais la naissance de bébé sans qu'il ne soit présent !
L’impatience s’est faite ressentir dès 38sa ! J’en pouvais plus…
Victor n’avait plus beaucoup de place, faisait même mal dans ses mouvements. J’avais un peu peur des contractions, bizarrement, je ne voulais plus vraiment accoucher plus tôt que prévu ! Pour moi, il me restait des peurs que je n’avais pas réglé et qui ne devaient plus être là au moment où bébé serait avec nous ! J’ai fait quelques petits malaises, je n’arrivais plus à dormir convenablement, impossible de faire des siestes… J’ai eu la chance que mon mari puisse prendre TOUS ses congés d’un coup, ce qui fait qu’il était là 24/24 – 7/7 dès début août. Une grosse peur qui s’est éteinte aussi, sachant qu’il bosse à Orléans et que je redoutais la naissance de bébé sans qu'il ne soit présent !
J’ai finalement pris 13/14kg en tout (OUAIIIIIIIS !) et
j’ai terminé cette grossesse en pleine santé, sans diabète, sans tension, sans rien du tout
d’alarmant…
Dans la nuit du 16/08, j’ai ressenti des contractions que je
ne connaissais pas encore. On n’avait passé la soirée avec des amis de passage
à Tours. Je me sentais bien et j’ai de suite compris que Victor allait débarquer.
J’ai fait un peu de ballon à la maison, j’ai tenté de gérer au mieux. J’avais
comme consigne de venir si les contractions étaient régulières sur une heure,
vu que mon col était ouvert. J’ai même pris le soin d’appeler la maternité pour
dire que j’arrivais.
Arrivée tôt le matin à la maternité, donc. Mon col avait bien
bougé, mais il fallait encore que je marche quelques heures. On m’a permis de manger des trucs
ultra sucrés pour prendre des forces avant l’accouchement. Je me suis fait
plaisir en Napolitain, en Balisto et autres trucs de la machine… Pour
finalement, réclamer mon meilleur pote : le ballon !
Une douche plus tard, je n’arrivais plus à supporter les
contractions. J’ai demandé la péridurale vraiment quand je ne pouvais plus
tenir. Premier couac : l'anesthésiste n'était pas disponible, il s'occupait de quelqu'un pour un accouchement (j'ai appris plus tard, que la personne en question, je l'avais déjà croisé !).
Je n'avais pas peur de la péridurale. Et vraiment, n'ayez crainte !
Lors de ma préparation à l'accouchement, ma sage-femme m'avait montré un kit. Je m'en étais fait une montagne avant de venir ! C'est pas si gros en fait, c'est pas si impressionnant, et pourtant je suis phobique des aiguilles ! Et puis, tout est fait pour que vous n'ayez pas mal. A l’hôpital où j'ai accouché, ils ont même demandé à mon mari s'il voulait rester (ce qui n'est pas fait partout !), on a préféré qu'il sorte, une étudiante sage-femme m'a accompagné, m'a donné les bons conseils.
Si bien que je n'ai rien senti, rien vu, rien de rien ! Et le soulagement des douleurs est arrivé assez vite, mais je sentais encore des choses, bref, j'étais bien !
Lors de ma préparation à l'accouchement, ma sage-femme m'avait montré un kit. Je m'en étais fait une montagne avant de venir ! C'est pas si gros en fait, c'est pas si impressionnant, et pourtant je suis phobique des aiguilles ! Et puis, tout est fait pour que vous n'ayez pas mal. A l’hôpital où j'ai accouché, ils ont même demandé à mon mari s'il voulait rester (ce qui n'est pas fait partout !), on a préféré qu'il sorte, une étudiante sage-femme m'a accompagné, m'a donné les bons conseils.
Si bien que je n'ai rien senti, rien vu, rien de rien ! Et le soulagement des douleurs est arrivé assez vite, mais je sentais encore des choses, bref, j'étais bien !
Mais Victor s’est fait attendre… Longtemps...
J’ai accouché à 20h36, après quasiment 16h de travail (avec
quelques complications pas très cool). L’accouchement s’est en revanche passé comme sur des
roulettes, très rapidement pour le coup ! En même temps, j'en avais tellement marre, j'entendais parler de césarienne, j'avais vu pas moins de trois équipes dans la journée... J'ai pris tout le courage qu'il me restait, la sage-femme qui allait partir voulait m'aider. Elle a fait tout ce qu'il faire avant de passer le relais et je pense que je lui en serais à jamais reconnaissante. Bref, 15 minutes plus tard, Victor était là ! Avec un cri tonitruant, il allait visiblement bien... Je l'ai tenu dans mes bras, j'ai éclaté en sanglots, quelle sensation de folie !
Je n’ai eu aucune séquelle, je me suis
levée très rapidement après, pas de bleu de la péridurale… Bref, malgré notre grosse frayeur en cours de
route et le fait que Victor doive me quitter pendant 48H pour une surveillance
en couveuse, tout est bien qui finit bien !
La grossesse a été une succession de pic de bonheur, de crainte,
de tristesse, de stress…
Au final, j’ai commencé par détester cet état, où j’angoissais tout le temps. J’ai finalement adoré mon ventre, les mouvements de bébé. Elle m’a permis de me découvrir aussi ! De mieux comprendre mon corps, mes envies, mes besoins. J’ai pu apprendre à me détendre, je dis d’ailleurs que Victor m’aura appris la patience ! J’ai même eu peur que ce gros bidon me manque (en fait, j’ai pas le temps d’y penser !). Finalement, j’ai adoré être enceinte, mais pas plus longtemps !
Au final, j’ai commencé par détester cet état, où j’angoissais tout le temps. J’ai finalement adoré mon ventre, les mouvements de bébé. Elle m’a permis de me découvrir aussi ! De mieux comprendre mon corps, mes envies, mes besoins. J’ai pu apprendre à me détendre, je dis d’ailleurs que Victor m’aura appris la patience ! J’ai même eu peur que ce gros bidon me manque (en fait, j’ai pas le temps d’y penser !). Finalement, j’ai adoré être enceinte, mais pas plus longtemps !
J’espère que cet article ne sera pas trop rébarbatif, pas trop décousu. Il ne
plaira/intéressera pas tout le monde, je le sais mais j’espère qu’il fera du
bien aux futures mamans qui me l’ont demandé, qui me posent des questions au
quotidien… N’hésitez pas à commenter, à me poser d’autres questions si vous en
ressentez le besoin ! Ici, ou en privé, je prendrais le temps de revenir
vers vous, promis !
[Gif > Giphy.com]
Ohlala je me retrouve tellement !
RépondreSupprimerJ'ai aussi eu besoin de manger des plats très en sauce et gras au T1 sinon rien ne passait.
Et j'ai aussi passé une bonne grossesse mais sans pouvoir m'empêcher d'angoisser sur des petits trucs de rien du tout.
Être enceinte ne me manque pas, mais comme tu dis ça nous apprend plein de choses sur nous même et c'est ce qui nous prépare à devenir mamans :)
enceinte de 37sa demain, merci pour cet article ! je l'ai trouvé super :)
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